Qui suis-je

Pratiquant la psychanalyse intégrative, j’ai démarré en 2012 à Paris 11ème, puis suis intallée aujourd’hui rue Tronchet à Paris 8eme. Je reçois soit en face à face en présence active, soit en psychanalyse (divan) pour stimuler l’imaginaire et la symbolisation.

Je suis régulièrement supervisée.

Je me suis formée  en psychothérapie psychanalyse intégrative et diplômée de la Nouvelle Faculté Libre (NFL) à Paris, école reconnue par la Fédération Française de Psychothérapie (FF2P), l’AFFOP (Association Fédérative Française des Organismes de Psychothérapies relationnelle et psychanalytique) et l’Association Européenne de Psychothérapie (EAP).

 J’y  ai suivi plusieurs centaines d’heures de formation à la psychopathologie ainsi qu’à une ensemble de techniques et de pratiques, incluant le travail de/en groupe: psychanalyse freudienne, jungienne, bio-énergie, psychosomatique, gestalt thérapie, thérapie centrée sur la personne, analyse transactionnelle, art thérapie, psychodrame, thérapie existentielle.

J’ai pratiqué pendant plus de 10 ans un travail personnel approfondi en Gestalt thérapie analytique, tant en individuel qu’en groupe.

Je suis membre du Syndicat national des praticiens en psychothérapie relationnelle et psychanalyse (SNPPSY).

J’accompagne depuis plus de 10 ans des individus et des groupes.
Ancienne consultante en lactation, j’ai accompagné pendant des années de jeunes parents (grossesse, néonatalité, parentalité, alimentation, communication parents-enfants..)

J’exerce parallèlement une activité indépendante de consultant, coach  en entreprise, auprès de TPE et  de grands groupes.

« Aucun homme n’est une île, un tout, complet en soi ;

tout homme est un fragment du continent, une partie de l’ensemble ;

si la mer emporte une motte de terre, l’Europe en est amoindrie,

comme si les flots avaient emporté un promontoire, le manoir de tes amis ou le tien ;

la mort de tout homme me diminue, parce que j’appartiens au genre humain ;

aussi n’envoie jamais demander pour qui sonne le glas : c’est pour toi qu’il sonne. »

 John Donne